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Parlant parcimonieux mais parlant bien, tout en esquisses, il semble certain que le collectif d’architectes parisiens NP2F préfère dessiner, pour ne prendre qu’un exemple, le showroom Sessùn de la capitale, plutôt que répondre à des questionnaires impossibles.
Nicolas Guérin et Clémentine Valadié se sont néanmoins pliés avec grâce à l’exercice.
Interview : Sébastien Carayol
Photo : Mélanie Elbaz
Votre slogan ?
Dessiner.
Un souvenir lié à une collaboration avec Sessùn ?
Le vernissage de la boutique que nous avons réalisée rue de Charonne où nous nous sommes rendu compte de la qualité émergente de la rencontre entre notre univers et celui de Sessùn.
Les meilleurs 20 Euros que vous n’ayez jamais dépensés ?
Match O.M.- Liverpool à 16 contre 1, victoire de l’O.M. (1-0).
Le superpouvoir que vous aimeriez avoir ?
L’ubiquité.
«J’aurais dû naître à l’époque de...»
Florence, pendant la renaissance italienne.
Pourquoi y a-t-il ce petit accent bizarre sur le «u» de Sessùn, selon vous ?
Pour l’accent du sud...
À quelle question détesteriez-vous répondre ?
Si ce que nous faisons est fonctionnel...un architecte, c’est bien connu, ne fait que de l’esthétique !
Votre mix-tape Sessùn en 5 morceaux ?
Keedz Stand on the World; Balthazar Decency; The XX Intro
; Pachanga Boys Time; Laurent Garnier Out Futur
Trois mots pour définir Sessùn ?
Plaisir, Artisanat, Emma.
Merci !